Château Des Aigles Nocturnes
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| cours 11 | |
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Auteur | Message |
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meg Bavard
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 15/09/2005
| Sujet: Re: cours 11 Ven 11 Nov - 16:04 | |
| et tu sais des choses sur tout sa ? | |
| | | meg Bavard
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 15/09/2005
| Sujet: Re: cours 11 Ven 11 Nov - 16:24 | |
| sur les vampire jai trouvée cela :
Mort-vivant, qui sort le nuit de son tombeau pour sucer le sang des vivants, le vampire est attaché traditionnellement aux croyances des pays slaves. Toutefois, ce mythe trouve ses origines dans la plus haute antiquité (sa première trace tangible est un vase préhistorique découvert en Perse et orné d'un dessin représentant un homme aux prises avec un être monstrueux essayant de lui sucer le sang). Pour certains, les premiers récits mentionnant des morts-vivants suceurs de sang appartiennent à la Chine du VIé siècle avant notre ère. La Grèce nous a laissé ses légendes de Buveurs de vie et de sang, ainsi que l'empire Romain, l'Assyrie, l'Egypte, la Gaule... Partout esprits, dieux et démons partagent le quotidien de l'Homme. Le Buveur de Vie a évidemment sa place, spécialité maladies étranges. Cependant il n'a pas de forme précise, il est confondu avec d'autres, fait partie de cette horde de forces inconnues auxquelles l'homme est confronté. Pour le trouver, il faut rechercher aussi bien les histoires de morts-vivants que les sacrifices sanglants des créatures surnaturelles et les récits de ceux qui augmentaient leur puissance en mangeant leur semblables. Mais ce qui fait le vampire est déjà là. On le craint. On élabore des rites funéraires destinés à combler le mort pour l'empêcher de revenir. On fait des offrandes aux dieux sanguinaires. Le monde gréco-romain eu cependant ses divinités sanguinaires, comme les "empuses" ou les "lamies" démons ou spectres suceurs de sang (qui sont communs d'ailleurs à de nombreuses civilisations). Les grecs croyaient également que les morts "préservés de toute corruption cadavérique" pouvaient sortir de leur tombe.Les prêtres cappadociens usaient de méthodes que l'on peut associer à des pratiques vampiriques. Ces prêtres-magiciens, les "belladonaires", s'entraînaient à immuniser leur organisme contre les effets de la Belladone (une plante toxique hallucinogène connue pour ses utilisations occultes). Vêtus de noir, la tête couverte d'un bonnet également noir, ils se répandaient dans les villes aux jours de fête de la déesse, se contorsionnant et mangeant la "cerise enragée" par pleines poignées. Puis ils brandissaient des couteaux, des sabres et s'infligeaient des blessures volontairement. Le peuple, pour se purifier, buvait le sang qui en coulait. | |
| | | meg Bavard
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 15/09/2005
| Sujet: Re: cours 11 Ven 11 Nov - 16:31 | |
| sur les loups garous jai trouvée cela: On croyait que ceux qui naissaient coiffés, avec une tache de vin ou des cheveux ressemblant à des poils de loup étaient des loups-garous. En général, on roulait la coiffe et on la gardait comme amulette ou on la cousait dans les vêtements. Elle était partout réputée pour portée chance. Parmi les Serbes et les Slovènes, ainsi qu'en Pologne et chez les Katchoubes, on disait que les enfants nés coiffés, ou avec des cheveux ou une tache de vin, avait le don de double vue et de métamorphose. Bien que pouvant se changer en divers animaux, on disait qu'ils préféraient le loup hardi et assoiffé de sang. Au XVIéme siècle, l'Eglise de Russie se sentit obligée de condamner ces croyances dans le pouvoir de la coiffe et ses liens avec la lycanthropie. La croyance au loup-garou se retrouve dans les régions d'Europe côtières à l'océan Atlantique, où les loup-garou sont des humains mordus par ces êtres et qui provoque une transformation génétique chez la victime, et donc après cela lors de la pleine lune, cet humain vas se transformer en loup-garou, un loup énorme avec des sens hyper développés, qui pendant ces nuits chercheront sans merci leurs victimes pour les dévorer sans pitié. Donc, des gens se sont mis à chasser ces loups, qu'ils tuent avec de l'eau bénite de l'église st Hubert patron des chasseurs ou avec une balle en argent. La lycanthropie est une maladie durant laquelle le sujet pense être un loup, se voit tel et agit en conséquence. Etymologiquement, lycanthrope provient du grec lycos : loup et anthros : homme. Ce terme fut fréquemment employé à la place du mot zooanthrope, lequel désigne toute métamorphose d'homme en animal. Cette affection était connue comme une forme de délire aussi bien durant l'Antiquité qu'au Moyen Age. Dès le premier siècle, Arétée de Cappadoce explique que certains hommes pensent être faits de verre et ont peur d'être cassés, ou celui qui se sent transformé en loup est travaillé par les appétits et affres de cet animal féroce, se jette sur les troupeaux et les hommes pour les dévorer, sort la nuit de préférence, hante les cimetières et les monuments, hurlant à la mort, avec une perpétuelle altération, les yeux enfoncés et hagards, ne voyant qu'obscurément comme s'il était entouré de ténèbres, les jambes meurtries par les égratignures et les morsures de chiens. Cette description subsistera, inchangée, au fil des siècles. Les Latins appelèrent cette maladie " mélancolie, rage lupine - insania lupina - ou folie louvière ". Parallèlement, des légendes entourèrent ce thème.. Dans cette lignée apparaît le loup-garou ; pour la première fois sous la forme de Leu-Garou chez Guillaume de Palerme - XIIe siècle - il est le calque de l'allemand werwolf, littéralement homme-loup, wolf voulant aussi dire à l'origine voleur. lycanthrope Dans le cadre " sorcellerie et démonologie ", il est possible de distinguer trois sortes de métamorphoses : · la " liaison magique ", transformation d'homme en animal d'espèce diverse, produite par la malveillance d'une sorcière. Celle-ci s'attaquant à tout ce qui concerne procréation, reproduction, il ne s'agit là que d'un moyen parmi d'autres pour infester l'acte vénérien. Le sujet " saisi " peut alors être considéré comme possédé, puisqu'il subit malgré lui. · le transport au Sabbat ne se fait pas seulement sur un balai ; la métamorphose, souvent en chat, est un jeu que la sorcière se permet avec son propre corps. Le loup-garou est d'un autre registre. Membre de la milice diabolique, classé parfois au même rang que les incubes et les succubes, donc inhumain, il a des caractéristiques du sorcier : la marque, point insensible et ne saignant pas, que les juges chercheront avec diligence. Généralement masculin, contrairement aux sorcières, sa fonction n'est pas semblable à la leur ; entièrement voué au mal, sans la brisure interne que provoque une possession, il s'attaque directement et oralement au corps de l'autre ; il est " le dévorateur " ; Loup puisqu'il est opposé à l'agneau divin. Lycanthrope 3 À l'époque, la transmutation homme/loup est un élément d'un questionnement plus vaste. S'appuyant sur les textes anciens, les Ecritures saintes, Augustin et Thomas d'Aquin, l'un des pivots de cette recherche est le diable : comment le situer par rapport à Dieu ? Il le hait et, ne pouvant s'attaquer directement à lui, sa hargne se porte sur sa créature et image : l'être humain. Mais quelles sont ses limites ? Les théoriciens distinguent quatre types de métamorphoses : divines, physiques ou naturelles, imaginaires et démoniaques. Comment s'opèrent-elles ? Certains optent pour une transformation du corps lui-même; mais, le plus souvent, elle est considérée comme une illusion provoquée par le démon : soit il accomplit les méfaits, celui-ci restant coupable puisqu'il ne fait que suivre ses désirs ; soit il l'environne d'air épaissi en forme de peau ; soit, dernière possibilité ingénieuse, le diable joue sur deux niveaux : sur le sujet atteint pour faire qu'il se sente tel qu'il n'est pas, mais aussi et surtout sur autrui pour qu'il le voie tel qu'il n'existe pas, ce regard séparant radicalement, dans l'esprit des juges, maladie et sorcellerie. Mais comme le diable ne peut contrefaire la perfection divine, l'illusion " loup " toujours, à un détail près : queue en moins, patte humaine, peau trop grande. Métaphore du cannibalisme, représentation imaginaire de la violence du pulsionnel, expression du désir de détruire un sujet, de préférence enfant, incorporation, meurtre et morcellement se trouvent ainsi exprimés. Ceci peut expliquer que le loup-garou soit nommé comme le plus grand des sorciers et qu'en conséquence il doive être brûlé sans étranglement préalable. Le danger qu'il représente est extrême. Lycanthrope 2 Les origines du mythe du loup-garou, n'ont jamais été clairement démontrées : elles sont pourtant de toute évidence fort anciennes et communes à de nombreux peuples. L'antiquité comme le moyen âge, a cru avec une bonne foi singulière à la lycanthropie. Hérodote en parle comme d'un fait avéré ; Virgile en parle également, et dans sa huitième églogue, il fait dire à Alphésibée : J'ai vu Moeris se faire loup et s'enfoncer dans les bois. déjà plus de douze cents ans avant notre ère, conte comment Lycaon(voir la légende complète à histoires vécues), roi d'Arcadie, devint loup pour avoir osé offrir en repas un enfant à Jupiter alors que celui-ci venait, incognito, vérifier sa piété. Au V ème siècle avant notre ère, Hérodote relate que les Grecs qui s'établirent sur les bords de la mer Noire considéraient les habitants de ces contrées comme des magiciens fort habiles, capables de se métamorphoser à volonté. L'historien grec parle d'une race d'hommes ayant le pouvoir de se transformer en loup et de reprendre, lors qu'ils le désirent, leur apparence humaine. On croyait, en ces temps lointains, que ces étranges mutations étaient le fait d'êtres humains anthropophages qui, par la pratique de la magie, prenaient l'apparence d'un loup pour satisfaire plus facilement leurs appétits monstrueux. Notons que, pour les Grecs, et les Romains, le fait d'être transformé en loup était parfois considéré comme un châtiment divin, et qu'il frappait toujours les mortels qui avaient sacrifié des victimes humaines. D'après Pline le Jeune, la métamorphose s'opérait alors que le " coupable " traversait à la nage les eaux d'un lac : en abordant à la rive opposée, il était devenu un loup. Dès lors, il était condamné à errer dans la campagne, avec d'autres loups-garous, pour une période de neuf ans. Si, pendant tout ce temps, il s'était abstenu de manger de la chair humaine, il lui était permis de recouvrer sa forme antérieure, marquée toutefois par les ravages du temps. Au début de l'ère chrétienne, Ovide présente également la transformation en loup comme une punition infligée par les dieux. Les métamorphoses offrent de nombreux exemples d'avatars prodigieux, depuis la création du monde jusqu'à Jules César. Les Anciens, dont les mythologies parlent d'hommes-loups, disaient que cette métamorphose permettait d'acquérir la force et la ruse d'une bête sauvage, mais que le loup- garou conservait voix et regard humains - ce à quoi, d'après eux, on pouvait d'emblée le distinguer d'un animal ordinaire. Les romains, eux aussi, attribuaient ces métamorphoses à la magie. Et plus tard, Pétrone, qui joua un rôle prépondérant à la cour de Néron, raconte une savoureuse histoire de loup-garou dans son célèbre roman picaresque, le Satiricon. Au moyen âge, on vit les lycanthropes, devenus loups garous, jeter l'épouvante dans les villes et dans les campagnes. Les sorciers opéraient cette métamorphose sur leurs ennemis, mais le plus souvent, ils opéraient cette métamorphose sur eux mêmes, et sous cette forme nouvelle ils attaquaient, non seulement les troupeaux, mais encore les hommes, dont ils dévoraient la chair saignante ; ils pouvaient toujours, quand ils le voulaient, reprendre leur première forme, mais quand, par hasard, ils avaient reçu en se trouvant à l'état de loup, une blessure qui les avait privés d'un membre, ils gardaient, en redevenant hommes, l'empreinte de cette mutilation, et c'est par là que l'on parvenait souvent à les reconnaître. L'un des démonologues les plus connus, Boguet, raconte que, dans les montagnes de l'auvergne, un chasseur fut un jour attaqué par un loup énorme, auquel, en se défendant, il coupa les patte droite. L'animal ainsi mutilé s'enfuit en boitant sur trois pattes, et le chasseur se rendit dans un château voisin pour demander l'hospitalité au gentilhomme qui l'habitait ; celui ci, en l'apercevant, s'enquit s'il avait fait bonne chasse. Pour répondre à cette question, il voulut tirer de sa gibecière la patte qu'il venait de couper au loup qui l'avait attaqué, mais quelle ne fut pas sa surprise, en trouvant au lieu d'une patte , une main et à l'un des doigts un anneau que le gentilhomme reconnût pour être celui de sa femme. Il se rendit immédiatement auprès d'elle, et la trouva blessée et cachant son avant bras droit. Ce bras n'avait plus de main, on y rajusta celle que le chasseur avait rapportée, et force fut à cette malheureuse d'avouer que c'était bien elle qui sous la forme d'un loup avait attaquée le chasseur. Le gentilhomme qui ne se souciait pas de garder une telle compagne la livra à la justice, et elle fut brûlée ... Selon Collin de Plancy dans son dictionnaire infernal, les loups garous étaient fort communs dans le Poitou ; on les y appelait la bête bigourne qui court la galipode. Quand les bonnes gens entendent, dans les rues, les hurlements épouvantables du loup garou, ce qui n'arrive qu'au milieu de la nuit, ils se gardent bien de mettre la tête à la fenêtre, parce que s'ils avaient cette témérité, ils ne manqueraient pas d'avoir le cou tordu. On assure dans cette province qu'on peut forcer le loup garou à quitter sa forme d'emprunt, en lui donnant un coup de fourche entre les deux yeux. Delancre assure qu'ils étranglent les chiens et les enfants ; qu'ils mangent de bon appétit ; qu'ils marchent à quatre pattes, et qu'ils hurlent comme de vrais loups, avec de grandes gueules, des yeux étincelants et des dents crochues. Bodin raconte qu'on vit en 1542, 150 loups garous sur une place publique à Constantinople. | |
| | | Groon Rouge prof détude des runes
Nombre de messages : 88 Localisation : Le pays des Morts Date d'inscription : 04/10/2005
| Sujet: Re: cours 11 Dim 13 Nov - 1:22 | |
| -Presea, je t'ai choisie, parce que tu es ma meilleure élève et que les autres doivent dévellopper leur imagination ainsi que leur capacité à suivre tous seul! Par exemple, Meg à un grand esprit de recherche et Frodon un esprit rêveur. Je les associa et j'espère avoir de bon point pour ce groupe, je vais t'aider un tout petit peu malheureusement, mais j'aimerai que tu m'écrive sur cette feuille ( elle pointait un parchemein et un pot d'encre)tous ce que tu c'est sur Halloween et ses dérivé, ses origines, quelques image peut être...
Puis le professeur regarda dans un grand livre en cuir
-Regarde.
Le livre parlait de pleinplein de chose sur Halloween, ses dérivé, ses loi, ses passioné et tout.
-Je vais te le passer, comme sa tu pourra rechercher plus rapidement.
Le livre énorme s'applatit comme une crêpe et diminua de volume pour devenir minuscule
-Tien. :study: | |
| | | presea sorcier
Nombre de messages : 61 Date d'inscription : 16/05/2005
| Sujet: Re: cours 11 Dim 13 Nov - 10:35 | |
| Presea écouta attentivement le professeur Rouge
-Merci professeur
Elle prena le livre et le lit
*C' est très interressant*
Elle écrivit sur la feuille
1. Il y a plus de 2500 ans, la nuit de Samain ...
Les Gaulois étaient le plus riche et le plus nombreux des peuples Celtes. Sa prééminence était telle que les Grecs et les Romains appelaient les Celtes : Gaulois. L'année gauloise se terminait à la fin de l'été le jour précis qui correspond aujourd'hui au 31 octobre. Les troupeaux étaient ramenés des prairies aux étables, et le soleil était remercié de la moisson qui représentait une aide pour la bataille à venir contre les ténèbres et le froid.
Ce dernier jour de l'année, on supposait que les esprits pouvaient faire une brève visite à leurs parents, alors que le Dieu de la mort tentait de rassembler les âmes de ceux qui étaient morts durant l'année afin de leur révéler leur sort.
En cette nuit du 31 octobre au 1er novembre commençait Samain. Au cours de cette première nuit de la nouvelle année on exécutait tout un cérémonial rigoureux afin de s'assurer d'une bonne année à venir.
Le soir, les Gaulois avaient éteint le feu dans l'âtre de leurs foyers, ensuite, au cours de la nuit ils se rassemblaient en cercle et les druides étouffaient solennellement le feu sacré de l'autel, puis frottaient des branches sèches du chêne sacré jusqu'à enflammer un nouveau feu pour honorer le dieu du soleil, et effrayer les esprits diaboliques. Chaque chef de famille recevait de la braise rouge recueillie dans ce feu pour en allumer un nouveau dans son âtre, feu qui devait brûler jusqu'à l'automne suivant. Ce feu sacré devait protéger du danger le foyer tout au long de l'année
2. Des Gaulois à Odilon de Cluny
La fête de Samain était la plus importante des fêtes Gauloises. Le porc communément servi à table était remplacé par deux taureaux blancs liés par les cornes, sacrifiés après la cueillette du gui. Le festin rassemblait tout le village. On y buvait de la bière, du vin, de l'hydromel... La fête durait une semaine à quinze jours et pour être certains d'effrayer les esprits, les Gaulois étaient grimés et portaient des costumes effrayants.
Incorporer Samain au calendrier catholique prit plusieurs siècles. Au Vllle siècle le pape Grégoire III déplaça la fête des Saints en novembre. Vers 840, le pape Grégoire IV installa Toussaint, décrétant que ce jour et la veille seraient observés. Odilon de Cluny choisit en 1048 le 2 novembre comme le Jour des Morts.
Le mot anglais viendrait de cette époque. All Hallows'day pour la Toussaint, All Hallow E'en pour la nuit sainte qui précéde et devint Halloween bien plus tard.
3. Halloween, de l'Irlande aux Etats-Unis
Alors qu'en France la culture celte disparaissait, des coutumes populaires de Samain continuèrent à se développer en Irlande, Ecosse, Pays de Galles, et certaines régions d'Angleterre.
L'un des plats servis au dîner en Irlande à Halloween est appelé "Callcannon". A ce plat de purée de pommes de terre, de panais et oignons frits étaient mélangés une bague, un dé, une poupée en porcelaine et une pièce. Celui qui trouvait la bague pouvait se marier dans l'année, celui qui trouvait la poupée en porcelaine aurait un enfant, celui qui trouvait le dé ne se marierait jamais, et celui qui aurait la chance de trouver la pièce serait riche.
A la suite d'une grande famine les pratiques d'Halloween se déplacèrent avec la grande émigration Irlandaise de 1846/48 vers les États-Unis, emportant avec elles l'un des personnages les plus populaires de Halloween, Jack-o'-lantern.
4. Halloween aux Etats-Unis
C'est à la fin du XIXe siècle que Halloween devint une fête nationale aux États-Unis, avec ses jeux, ses divinations, et la coutume du "Trick-or-treat"
Aujourd'hui de nombreux commerçants aux États-Unis font plus d'affaires à Halloween qu'à Noël ! Il y a peu de films, dessins animés, feuilletons qui n'aient une scène se déroulant durant cette fameuse nuit. On y a même rencontré E-T- et Woody Allen !
Même si Halloween ne se fête que le 31 octobre, c'est durant tout le mois d'octobre que les enfants américains le préparent : décorer les maisons, créer son déguisement, et se préparer pour le Trick-or-treating avec une taie d'oreiller pour ramasser le maximum de bonbons.
Le thème des déguisements et décorations tourne autour des sorcières, chats noirs, fantômes, squelettes, diseuses de bonne aventure, vampires, loups-garous, citrouilles...
La soirée se termine à chacun sa guise en chantant, en dansant, en jouant, en se racontant des histoires horribles...
5. L'histoire de trick-or-treat
En Amérique du Nord, Halloween n'a pas toujours été une fête d'amusements ... Au début du siècle, les gens se jouaient des tours pas nécessairement sympathiques. Les enfants se contentaient de défiler déguisés dans les rues et revendiquaient fortement des petits cadeaux. Gare aux radins!
La tradition du trick or treat en frappant aux portes n'est venue que dans un deuxième temps, plus récent, dans les années 30. Dans le même ordre d'idée, la sorcière n'est présente dans le folklore de Halloween que depuis le XIX°s. On retrouve là les Saturnales, la fête des Fous ou de l'Ane.
Halloween a mis longtemps pour devenir ce qu'elle est aujourd'hui, une fête de magie, mystère, déguisements et bonbons.
La tradition dit que les activités tumultueuses des mauvais esprits et sorcières sont les mêmes que celles des enfants, masqués par la coutume derrière les déguisements de fantômes et de squelettes. Tout se passe comme si les enfants sont la continuation de ces mauvais esprits par les déguisements qu'ils portent et donc par leur identification.
A eux donc de jouer les tours que jouaient les morts en passant une dernière fois parmi les vivants...
6. Jack-o'-lantern
L'un des personnages les plus populaires et les plus solides de Halloween, Jack-o'-Lantern, était d'abord une tradition irlandaise. En Irlande, les énormes pommes de terre, rutabagas et navets - au lieu de citrouilles, que l'on ne trouvaient pas - étaient creusées, sculptées en des têtes affreuses et illuminées avec des bougies pour être utilisées comme lanterne à la fête de Halloween.
Le nom de Jack-o'-lantern est supposé avoir pour origine un conte irlandais d'un homme appelé Jack qui était un ivrogne patenté et avare. Un soir dans son pub, le Diable apparut pour lui demander son âme. Habilement, Jack le persuada de prendre un verre avec lui avant qu'ils ne partent ensemble. Pour payer son verre, le Diable se transforma en pièce de six pence que Jack saisit immédiatement. Il la mit dans son sac qui avait une serrure en forme de croix, empêchant ainsi le Diable de partir.
Finalement, Jack libéra le Diable à condition qu'il le laissa tranquille une année de plus. Douze mois plus tard, Jack fit une autre farce au Diable, le laissant en bas d'un arbre avec la promesse qu'il ne le poursuivrait plus.
A la fin, Jack mourut. Chassé du Paradis par transgression, et de l'Enfer à cause de ses farces, Jack, en désespoir, marchanda avec le Diable pour du charbon brûlant pour éclairer son chemin dans le noir. Jack le mit dans un navet qu'il mâchait, et comme le dit l'histoire, il fut condamné à marcher avec sa lanterne, jusqu'au Jour du Jugement.
Elle finit d' écrire et elle se leva -Professeur,je crois que j' ai finis
Elle lui tendit le parchemin | |
| | | Groon Rouge prof détude des runes
Nombre de messages : 88 Localisation : Le pays des Morts Date d'inscription : 04/10/2005
| Sujet: Re: cours 11 Dim 20 Nov - 21:09 | |
| Groon souria, elle fit signe a Presea d'aller s'asseoir et demanda le silence
-Bon, tous le monde, j'aimerai que vous passiez groupe par groupe, tous d'abord, Frodon et Meg, puis Presea et moi, puis Hally et Gotika, c'est partit.
Voyant que les élèves était un peu brouyer, le professeur Groon déclara -Ne vous inquiètez pas vous pouvez regarder vos feuille c'est juste une côte sur 10, elle figurera dans vos dossier mais il faut se dépêcher aller c'est partit!
Frodon et Meg s'avancèrent. Frodon restait pétrifiée. meg avança et commença.
-Je précise que vous devez parler ensemble, c'est un travail de groupe! | |
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